Damien Comolli : “Je pense qu’il y aura d’autres trophées si on continue comme ça”

Les premières personnes que je voudrais remercier, ce sont les éducateurs et bénévoles du club. Ils font un travail dans l’ombre depuis de très nombreuses années. Leur boulot est formidable. On avait cinq Pitchouns qui étaient dans le groupe pour cette finale. Je souhaite donc leur rendre hommage, ainsi qu’à Olivier Sadran. Nous, avec Olivier Jaubert, on a juste pris la suite et continuer à construire sur ce qu’Olivier Sadran avait déjà fait, dont le centre de formation.

Je voudrais aussi remercier les partenaires, les institutions qui nous soutiennent, toutes les personnes qui ont travaillé dans le club pour qu’on soit performant sur ces 90 minutes. Ça a été aidé plus d’un mois de travail à tous les niveaux. C’était absolument extraordinaire.

Je voudrais remercier tous les membres de la direction du club qui font avancer le TFC, qui nous épaulent avec Olivier Jaubert. Tous les jours, ils nous ont parlés de reconstruction, de reconnecter le club à la cité. C’était un travail au quotidien.

Je voulais remercier les supporters. Le soutien qu’on a depuis trois ans, c’est absolument extraordinaire. Au Stade de France, en arrivant en bus, on a vu les milliers de Toulousains qui nous attendaient. Ça nous a mis une énergie incroyable. Dans le stade, il y avait beaucoup de maillots jaunes, mais ce n’est pas le jaune qui a gagné, c’est le violet.

Enfin, je voulais remercier les joueurs, Philippe Montanier, le staff, les analystes, le médical, ils ont fait en sorte que tout ce qu’on avait prévu et imaginé, ça puisse arriver en fois 10. C’est un groupe qui en majorité évolue ensemble depuis trois ans, avec un staff technique depuis deux ans. C’est le deuxième trophée. Je pense qu’il y en aura d’autres si on continue comme ça et si on bénéficie de votre soutien à tous. Quand on est arrivés en 2020, si on m’avait dit que deux ans et demi plus tard, on serait au Capitole en train de chanter “on a gagné la Coupe de France”, j’aurais répondu : “vous êtes fous”. Mais on y est arrivé, merci à tous !