Dorian, supporter n'étant plus venu depuis 2019 au Stadium : "Un virage plein, de l’ambiance et des chants quasi-ininterrompus"
Dorian n'avait plus mis les pieds au Stadium depuis 2019, et a redécouvert un stade changé, voici son témoignage...
Depuis le début de l’ère Redbird, le peuple toulousain garni de plus en plus le Stadium. Aujourd’hui la rédaction du site LesViolets.Com a rencontré Dorian, qui n’avait plus mis les pieds sur l’île du Ramier depuis 2019. Ce qui a changé, son ressenti, la rencontre, le virage Brice et le Stadium, voici notre interview !
Ton dernier match remonte à 2019, c’était à l’occasion de quelle rencontre ?
"Un match contre Angers qui s’était fini par un bon 0-0 des familles et dans un stade bien vide. La semaine d’avant, j’étais aux Costières (le stade du Nîmes Olympique), puisque j'habite là-bas depuis 4 ans, où le Tef se déplaçait et avait gagné 0-1 (but de Yaya Sanogo), dans un stade à capacité 2 fois plus faible, mais avec je pense davantage de spectateurs…"
Des animations, des food-trucks, les mascottes, les différentes tribunes. Comment as-tu trouvé le Stadium à ton arrivée ?
"Je vais être assez honnête, je suis arrivé à peine 15 minutes avant la rencontre, et j’ai dû repartir rapidement au coup de sifflet final pour rejoindre la gare donc je n’ai malheureusement pas pu profiter de toutes les animations. Pour les mascottes, j’ai vu en effet qu’il avait deux nouvelles têtes. Ça aussi c’est une très bonne chose, si cela peut aider à faire ramener davantage de familles au stade et créer de l’animation pour les plus jeunes, ce sont toujours des actions à applaudir !"
Qu’est-ce qui t’a poussé revenir au Stadium ?
"On va dire merci la SNCF ! L’opération trains à 1€ le week-end dernier, j’ai pu organiser mon week-end un peu dans la précipitation à Toulouse pour revoir de la famille. Et par chance, programmation du match à 13h, dernier train de retour à 17h. Ajoutez le soleil et la chaleur en plein mois d’octobre et les prix des billets assez avantageux en virage et quart de virage, il n'y avait pas à hésiter ! Bon il n'y avait déjà plus de places en virage Brice quand j'ai pris mes billets !"
Tu étais vraiment proche du virage Brice. Comment as-tu trouvé l’ambiance ?
"J’étais en quart de virage oui. Il y a une grosse évolution depuis 2019 ! Un virage plein, de l’ambiance et des chants quasi-ininterrompus ! On prend 2 buts, mais ça continue de mettre l’ambiance comme si de rien n'était… Ça fait plaisir d’avoir un stade bien moins dégarni et enfin une belle ferveur ! Et jusqu’ici, l’équipe le rend assez bien ! Bon, déçu quand même de ne pas avoir fini dans les fumigènes comme j'ai pu le voir à l'écran pour le match contre Montpellier, mais on ne peut pas tout avoir ! Ça restait une très belle fête et ce n’était pas pour autant la réception du PSG ou de l’OM en face !"
Sur le terrain et dans les bureaux, ce n’est pas non plus la même équipe qu’à l’époque. Que penses-tu de ce nouveau TFC ?
"J’étais un poil sceptique au début avec l’arrivée de RedBird. Il y a toujours une petite appréhension qui persiste, mais pour l’instant, j’en suis satisfait. Que dire par exemple de la communication et de la relation avec les supporters, c’est le jour et la nuit par rapport à la fin de l’époque Sadran. Il y a un président qui est bien présent, un club qui communique fréquemment et qui est très actif sur les réseaux sociaux… Il y a vraiment du positif."
Un pronostic sur notre classement en fin de saison et notre meilleur buteur ?
"On enchaîne Lens, Monaco, Rennes en novembre et on poursuit directement après le mondial contre l’OM, va falloir tenir la baraque. Si on a pas de pépins, je mise sur le ventre mou : 11 ou 12e en fin de saison. Pour le meilleur buteur, je vais mettre une petite pièce sur Ratao !"